2010 - "Transport des déchets nucléaires : Nathalie Arsenault continue sa croisade"
Info Dimanche.com
22 /11/2010
Saint-Jean-Port-Joli – La conseillère municipale de Saint-Jean-Port-Joli, Nathalie Arsenault, continue son action pour l’interdiction du transport des déchets nucléaires sur le fleuve Saint-Laurent.
Durant plusieurs semaines, Mme Arsenault a fourni de l’information à des groupes ou des individus qui s’inquiètent de la situation concernant le transport de matières toxiques sur le fleuve. En plus d’avoir multiplié les entrevues avec les médias sur la question, elle a proposé un amendement à la Proposition principale du Parti québécois en congrès de circonscription de Montmagny-L’Islet qui a été adopté à l’unanimité.
« L’amendement qui vise à interdire le transport des déchets nucléaires sur le fleuve Saint-Laurent vient compléter une série de mesures progressistes sur la question de l’environnement. Je suis très heureuse que cette proposition puisse être transmise au congrès régional du Parti Québécois du 12 février 2011 et j’espère de tout cœur qu’il fera partie de la plate-forme électorale à la prochaine élection générale, car il est important de travailler à diminuer les inquiétudes de la population à cet égard », a-t-elle déclaré.
Il y a déjà près de 270 municipalités québécoises qui ont adopté la résolution sur l’interdiction du transport par le fleuve et les Grands Lacs de déchets nucléaires radioactifs. « C’est un mouvement des plus positifs pour l’environnement et pour la santé des populations riveraines » de lancer Mme Arsenault.
Maintenant, la conseillère municipale demande à ses concitoyens de se faire entendre auprès de leur député. « Le poids de chaque individu compte dans cette lutte pour notre qualité de vie ; c’est pourquoi j’invite chacun et chacune à écrire à leur député provincial et fédéral.
« N’hésitez pas à faire part de vos inquiétudes à vos députés respectifs, car ce n’est pas tant le risque d’une catastrophe nucléaire qui est à craindre, mais plutôt les séquelles d’une erreur qui aura de lourdes conséquences sur l’environnement et la santé des êtres humains pendant des générations », de conclure Nathalie Arsenault.