Faire accepter, rendre séduisant
Le gros morceau, c’est la faire accepter, voire même aimer, la poubelle radioactive : “Assurer une gestion sûre des déchets radioactifs à long terme constitue un enjeu particulier.”ˆIl est crucial que la population locale ait accepté de vivre avec une telle installation ainsi que d’aider à la préserver au cours du temps. Comment une installation et son site peuvent-ils mieux s’intégrer dans la collectivité d’accueil et comment peuvent-ils rester séduisants sur le long terme” ?

Faire aimer, voire rendre fier
L’enseignement est original, faisant de la poubelle nucléaire un bel objet dont on sera fier, ainsi : “L’installation est attrayante, reconnaissable et à nulle autre pareille. Elle est belle à voir et agréable à vivre” ou “le projet et l’installation de l’activité de gestion des déchets radioactifs sont faciles à comprendre, sont liés à la vie quotidienne” .
“L’installation et le site ont un caractère mémorial.”ˆL’installation peut devenir un symbole, un trait bien connu, emblématique et objet d’admiration de la région. Les résidents peuvent tirer fierté de l’existence de l’installation ; celle-ci peut devenir un élément positif de l’identité locale.”

Fondre dans le paysage
Le site doit être facile d’accès et convivial : “Possibilité pour les gens d’aller vers le site avec enthousiasme et de tirer satisfaction de son utilisation” . Le site doit se fondre dans le paysage, tiens comme le bâtiment des archives EDF à Bure, qui reflète le ciel et les champs alentour ? Ou les archives d’AREVA à Houdelaincourt ? “L’installation respecte le genus loci (l’esprit du lieu), s’intègre dans le paysage et le complète.” AREVA et EDF en ont déjà tiré des leçons et appliquent à la lettre la consigne...
Comme quoi, rien n’est laissé au hasard...

Le document complet du FSC en pièce jointe :